Il y a quelques décennies, parents et enseignant étaient très complices pour le bien de l’enfant.
Il était fréquent de voir dans les salles de cours les instituteurs avec une règle à la main. Et les élèves immobiles, les bras croisés qui s’attendent toujours au pire.
Ils étaient conscients que leurs parents n’allaient pas les défendre quand ils seraient convoqués par le professeur.
Bien au contraire, les géniteurs n’avaient qu’une seule phrase pour ce dernier :
«Vous le tuez, et nous on le scalpe».
أنت ادبح وأنا نسلخ
Aujourd’hui, les choses ont beaucoup changé. La formule qui reflète ce que pensent bon nombre de parents de nos jours est :
«Mon fils est le meilleur, s’il ne réussit pas, c’est que son instituteur est nul».
Plus de détails avec La pédopsychiatre Docteur Houda Hjiej